La contemplation comme outil intuitif et canalisateur

Tout d’abord il s’agit de différencier observation et attention.
Tout comme peut indiquer la langue des oiseaux, l’a-tension est un état qui mobilise plus le mental qui appelle un état de vigilance permanent.
Afin de faciliter la voie de l’intuition il est nécessaire de se soustraire de tension mentale et par exemple lors d’une sortie dans un endroit que vous choisirez à votre convenance si possible et surtout calme (Forêt, paysage naturel etc).
Prenons l’exemple d’observer un arbre comme élément vivant. Il existe dans son ensemble feuilles et racines et l’apprécier dans tout ses détails : sa forme, ses couleurs, le toucher également, et même l’entendre.
Cette phase de contemplation amène la conscience de l’élément dans ses plus petits détails.
Cette observation tournée vers l’extérieur, qui est le monde des phénomènes, vise par la suite de manière interactive à se tourner vers notre intérieur jusqu’à ne plus avoir de barrière.
Prendre tout simplement conscience que l’un n’existe pas sans l’autre.
Pendant cette pratique vous devez ressentir que vous ne vous appartenez plus. La présence de l’arbre a monopolisé tout votre intérieur.
Dans cet état de passivité, nous accueillons le stade observateur de nos pensées, émotions et sensations sans chercher à s’attacher à cela.
Vous devenez alors réceptacle dans lequel se déverse un flot de pensées en rapport ou non avec l’arbre.
Trier ces pensées reviendra à remobiliser le mental à sa mauvaise place dans cet exercice là. Laissez simplement faire la sélection naturelle de ce qui est bon à prendre.
Ainsi cela contribue à libérer de l’espace en vous et voire à la longue dans cet unicité à recevoir quelques pensées de l’arbre.
Faire cet exercice plus souvent peut ainsi faciliter votre développement personnel sur l’intuition afin de l’accueillir et d’y prendre confiance.
Il suffit de s’y mettre !